Quelques mots qui font du bien

Mots poétiques @aurelauteure

Dans le silence tendu qui précède l’orage intérieur,
Une voix s’élève, sans fard, porteuse de ferveur.
Nessa Nyams, un nom gravé dans le bitume vibrant,
Qui déchiffre nos âmes, les secrets souvent cachés devant.
Elle nous dit : « Comprends », l’urgence dans le regard,
L’écho d’une blessure, une cicatrice sans fard.
Elle sait qu’il faut « Chasser tes démons », cette meute intérieure,
Ces ombres familières qui minent notre bonheur.
Et au cœur du tourment, cette spirale lancinante,
Le titre qui vrille l’esprit, l’obsession pesante : « Vrille ».
Les pensées qui s’enroulent, l’angoisse qui scintille,
Un vertige intérieur où l’équilibre vacille.
Elle explore le poids lourd de « Culpability »,
Ces chaînes invisibles qui entravent nos envies.
Le remords qui tenaille, la faute qui nous hante,
Dans ce labyrinthe sombre où l’âme se tourmente.
Et pourtant, au milieu des fracas et des cris,
Une tendresse affleure, un aveu sans artifice :
« Je t’aime quand même », fragile et puissant serment,
Un lien qui persiste malgré les tremblements.
Elle murmure « Baby Boy », une douceur amère peut-être,
Une confidence intime, une fenêtre discrète.
Sur des relations complexes, des liens ambigus,
Où l’amour se mêle parfois aux malentendus.
Nessa Nyams cartographie nos zones d’ombre et de lumière,
Avec une honnêteté qui désarme et nous libère.
Elle met des mots précis sur nos chaos intimes,
Transformant la douleur en des mélodies sublimes.
Alors écoutez ces titres, ces fragments d’existence,
Ces cris du cœur offerts avec tant de persistance.
Car au-delà de l’artiste, au-delà de la voix qui transperce,
Il y a mon amie, ma sœur de cœur, dont l’humanité nous berce.
Nessa Nyams, une artiste incroyable, assurément,
Dont les mots nous touchent au plus profondément.